En quête du graal marketing pour séduire la Gen Z : la collaboration parfaite
La collaboration entre marques est souvent considérée comme une stratégie marketing usée. Pourtant, elle reste le « viagra consumériste » le plus puissant pour captiver le portefeuille de la Gen Z et même celui des clients les plus fortunés. En effet, la collaboration intègre une dimension symbolique qui démontre l’aptitude réelle d’une marque à l’inclusivité. Elle représente une véritable opportunité pour les entreprises de toucher une dimension corporate fascinante.
La communication ment, le produit jamais !
Les consommateurs de la Gen Z sont particulièrement sensibles à l’inclusivité et à la diversité. Pour eux, la communication ne suffit pas, il faut également agir en conséquence. C’est pourquoi une collaboration réussie doit dépasser l’association entre deux marques aux ADN cohérents, car cela reviendrait à de la consanguinité, donc une preuve de conservatisme corporate.
La collab’ Z réussie, c’est du polyamour à trois !
Pour réussir une collaboration, il faut penser au-delà de l’association de deux marques. La collaboration doit intégrer une troisième entité pour créer une véritable alchimie. C’est cette dimension polyamoureuse qui permet de créer une collection capsule unique en son genre. Un exemple de réussite : la collaboration entre la star de la série Stranger Things, Millie Bobby Brown, sa marque de beauté Florence by Mills et la marque de mode access ABOUT YOU. Une danse à trois pour une collection capsule intitulée A Day in the Life of Millie, représentant un lifestyle construit autour de la créativité sous toutes ses formes.
La recherche de la collab’ parfaite ne fait que commencer !
La recherche de la collaboration parfaite pour séduire la Gen Z ne fait que commencer. Les marques doivent être prêtes à se métisser à l’autre pour créer une alchimie unique en son genre. La collaboration est un véritable sérum de vérité sur le désir d’une marque à être inclusive et diversifiée. Un mécanisme efficace à étudier pour les marques souhaitant capter le portefeuille des consommateurs de la Gen Z.
Par Kakarl, l’esthète bien fagotté
