Karl Lagerfeld : l’hôtel cinq étoiles tant attendu ouvrira enfin ses portes à Macao !
Après des années d’attente, le projet d’hôtel de luxe de la marque Karl Lagerfeld, dessiné par le célèbre designer allemand, ouvrira ses portes en juin prochain à Macao, en Chine. Un établissement cinq étoiles qui promet une expérience unique et rock’n’roll, à l’image de son créateur.
Un hommage à Karl Lagerfeld
Le MET Gala a rendu hommage au défunt designer Karl Lagerfeld, en annonçant l’ouverture de son hôtel de luxe à Macao. Ce projet, en gestation depuis 2014, ouvrira enfin ses portes en juin prochain pour le plus grand bonheur des amateurs de luxe et d’extravagance.
Un hôtel cinq étoiles à l’image de son créateur
Situé dans le complexe de luxe de Lisboa Palace à Macao, l’hôtel Karl Lagerfeld comprend 271 chambres, un restaurant tenu par le célèbre chef portugais José Avillez, un centre de bien-être avec des piscines intérieures et extérieures, un spa, mais surtout une salle des livres appelée Book Lounge. Cette dernière comprend pas moins de 4000 ouvrages et est un hommage à l’une des pièces de la maison parisienne de Karl Lagerfeld.
Un lieu unique et rock’n’roll
L’hôtel a été entièrement pensé par le designer allemand, qui a voulu créer un lieu à son image, rock et chic, avec une pointe d’extravagance. La décoration allie les touches de Karl Lagerfeld avec des inspirations chinoises pour saluer le lieu d’implantation de l’hôtel. Les chambres, quant à elles, sont prêtes à accueillir un public de prestige avec des suites allant de 60 à 350 mètres carrés.
Une ouverture retardée mais à point nommé
Initialement prévue pour 2018, l’ouverture de l’hôtel Karl Lagerfeld a été repoussée plusieurs fois à cause de problématiques de chantier, puis de la pandémie du Covid-19. Mais finalement, l’ouverture tombe à point nommé avec la reprise massive des flux touristiques. La clientèle ultra luxe est amatrice de voyage, mais surtout d’expériences uniques. L’hôtel Karl Lagerfeld promet d’être l’une de ces expériences qui resteront gravées dans les mémoires des voyageurs les plus exigeants.
Par Kakarl, l’esthète bien fagotté